- Le sanctuaire Yasaka: sanctuaire shintô connu lors du Gion de la ville. Date de création inconnue mais reconstruit au XVII es.




Dans la tradition shintoiste, on se purifie avant d aller prier la divinité. On secoue deux fois la corde et tape deux fois dans ses mains afin d appeler l esprit à écouter la prière.







On choisit sa divination en tirant une prédiction et si elle est mauvaise,on l’attache afin de conjurer le sort.
2. Temple Ginkaku ji ou pavillon d’ argent


Résidence campagnarde du shogun Ashikaga Yoshimasa, c’ est une pavillon de deux étages de plan carré. Toutefois, contrairement au projet initial, il ne fut jamais recouvert de feuilles d’ argent. Entouré par un jardin sec comportant une petite pyramide en forme de volcan, il devrait refléter l’éclat lunaire les soirs de pleine lune. Des petites allées mènent à une colline qui permet une vue du nord de Kyoto. Ça grimpe peu.






A proximité, il y a le chemin des Philosophes, nommé en souvenir du philosophe japonais Nishida Kitaro qui aimait s y promener. Promenade de 2 km sans doute agréable au printemps ou à l automne, pour ma part, je l ai écourté. Un peu déçue aussi par le pavillond’ argent qui n’ est pas vraiment intéressant mais entouré par la nature, ce qui atténue un peu la déception.

Il faut compter une bonne demi heure en bus et une bonne montee pour y arriver. A eviter sous fortes chaleurs.
3. Temple Kinkaku ji ou pavillon d’ Or
Construit au xiv es par le shogun Ashikaga Yoshimitsu qui en fit sa résidence de retraite. Le pavillon brûla en 15 lors du suicide d’un jeune moine fou du temple et fut reconstruit. Recouvert de feuilles d’ or, un phénix se trouve à son sommet, symbole d éternité. Il est possible de prendre un thé vert pas loin du pavillon. Personnellement, même s il est indéniable qu il est bien plus beau que son confrère, sa visite laisse un peu sur sa fin car, après avoir supporter la foule (venir tot), il n y a que ça a voir donc la visite est rapide,d autant plus que vers la sortie, on est envahi par des boutiques souvenirs (religieux ou non), ce qui dénature beaucoup le site.


4. Temple Ryoan ji
Magnifié lieu de verdure très agréable en été avec un lac de nénuphars et un jardin zen. Personnellement, le jardins zen donc secs ne M ont jamais intéressé donc je garde un bon souvenir de ce coin de nature.


Temple bouddhique, son parc, son temple et jardin ont été fondés au xv es par le seigneur Hosokawa Katsumoto. Détruit par un incendie puis reconstruit au xv et XVIIi es, le temple actuel date du xix es. Le jardin zen est constitué de graviers ratisse par les moines. Ces rayures représentent les remous des rivières et des vagues des océans. Des rochers parsèment la scène de 15 rochers. A proximité, on trouve un jardin humide composé de mousses et de bosquets d’ arbres, la mousse représentant la vie qui croit dans le bouddhisme japonais.




6. Temple Ninna ji
A l’ origine, palais élevé au ix es par l’ empereur Koko, son fils s’ y retira comme abbé et, jusqu’à l’ ère Meiji, les abbés de ce temple furent choisis dans la famille impériale. Il possède aussi une pagode à cinq étages (33 mètres de hauteur). Très impressionnant par son entrée qui est vraiment très longue et haute.















7. Temple Myoshin ji
Fondée au xiv es par l’ empereur Hanazono, c’ est un complexe gratuit de 43 temples appartenant à la secte bouddhiste zen Rinzai. Très calme et peu visite, il possède de beaux petits jardins mais visite courte du lieu.






8. Monastère bouddhique Daitoku ji
De nouveau,ce sont des amalgames de temples dont plusieurs jardins secs (pas de photos autorises) comme le Daisin in, et un jardin vert





