Osaka est une ville grouillante de monde, cosmopolite et moderne qui contraste fortement avec Kyoto la traditionnelle. Personnellement, cette ville ne m’a pas marquée et donc, j’y suis passée assez rapidement pour visiter le musée de la céramique, face à l’hôtel de ville, qui possède quelques pièces très belles (qu’on ne peut pas photographier! Grrr!) mais le plus intéressant fut le détail et la délicatesse des « tabatières » (flacons) qui sont vraiment magnifiques.
Eh oui, j’ai réussi « à voler » quelques photos au musée quand même. Quelle racaille! lol
Après cette courte visite, je suis allée visiter, comme beaucoup de touristes, le château d’Himeji. Compter 15-20 min pour traverser le parc jusqu’en son centre où se trouve le château. Etre en bonne condition physique car ça grimpe bien et régulièrement sur de grosses pierres (et ce fut assez pénible). Personnellement, je ne vous conseille pas d’y visiter l’intérieur, ça coûte quand même 600 yens pour visiter 6 étages (le 7 e étant le panorama sur la ville) et bon, des panneaux et quelques mini vidéos expliquent le lieu mais essentiellement en japonais. Comparé à Himeji, préférez ce dernier, bien plus imposant et intéressant (même si lui …est vide à l’intérieur! Décidément!).
Et au retour, au pied du chemin menant au château, ça m’a fait plaisir de retrouver ces rapaces. Dommage pour la photo, surtout qu’ils ne demandaient rien, comme à Malte!
Comme j’ai toujours des problèmes d’Internet à l’hôtel, je ferai de mon mieux pour terminer mes articles mais le téléchargement des photos rament aussi maintenant alors il faudrapeut-être attendre le 26 à mon retour en Belgique. Désolée.
Himeji:
Un des 12 plus vieux châteaux en bois du pays ainsi que le plus grand, il est reconnu au patrimoine mondial de l’UNESCO et il est le plus célèbre du pays. On peut notamment le voir dans le James Bond, « On en vit que deux fois ». Le « héron blanc », en raison de sa couleur extérieure dominante, il fut crée avant le XVI es. Quasiment intacte depuis, il a subi de grandes restaurations de 2010 à 2015 donc j’ai pu profiter de son éclat 🙂 Le château possède encore ses défenses, dont la taille des ouvertures des murs dépendaient de l’armement utilisé (arc ou arquebuses) selon qu’on doit être debout, à genoux ou couché pour l’utiliser à travers des meurtrières à diverses formes géométriques (triangles, ronds, rectangles), ainsi que des mâchicoulis permettant de jeter des pierres ou de l’huile bouillante en cas d’attaque (chouette époque!).
Voilà, avec ce dernier chapitre, c’était la fin de Kyoto et ses environs. Il reste encore Tokyo 🙂